C'est de ce "banal" livre de comptes que tout est parti.
Chaque année, Victor ouvrait un nouveaux livre dans lequel il notait
soigneuseument ses rentrées et sorties d'argent. Et puis soudain, en 1928,
il délaisse peu à peu l'aspect pratique de cet ouvrage pour le noircir de dessins.
Par le mystère de ces dessins, cela fait de ce livre un document exceptionnel.
Mais indépendamment de ces aspects incroyables, il est aussi plein de poésie.
Il témoigne d'un passé qui n'est pas si loin et qui parait pourtant si lointain.
En plus de toutes ces choses étranges, je voulais mettre en avant les documents quelconques qu'il recelait : papier-à-lettre, factures, attestations, brouillons...

Alors si celà vous intéresse aussi...